Les rues de la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu sont sans moyen de déplacement en commun dans la matinée de ce lundi 31 janvier 2022 suite à un appel à une ville sans Taxi-bus.
C’est dans le contexte d’une décision de la mairie de Goma imposant la peinture jaune sur tout les engins de transport en commun pour “la sécurité dans la ville”.
Sur plusieurs arrêts bus de la ville , l’on pouvait observer des jeunes qui s’adonnent à des courses derrière les Taxi-bus qui selon ces premiers, n’auraient pas respecté le mot d’ordre. Dans ce cas de figure, cela présenterait encore un risque des dégâts humains, de destruction ou d’endommagement des véhicules des passagers d’où plusieurs risques collatéraux.
Il serait très déplorable de laisser passer du temps sans statuer sur la gestion de cette crise qui avait été engendrée par une mairie soit “moins informée” sur les aléas et fléaux que pouvaient causer cette décision peut-être “inconsidérément ”prise.
Ces actes que plus d’une personne ne cautionne positivement sont d’un caractère à troubler l’ordre public.
C’est le constant de certaines couches de la population que la rédaction de le-renouveau.net a pu interroger cette matinée même.
Entre les autorités urbaines, les associations des conducteurs ou les chauffeurs , qui crée le désordre ?
À suivre
Didier BUJIRIRI
La merle créer le désordre