Depuis qu’il séjourne dans la ville de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo ce weekend, le Président Félix Antoine Tshisekedi a tenue une conférence de presse devant des médias à compté sur les bouts des doigts.
Si la part, majoritairement grande n’a pas été accréditée c’est une lourde responsabilité qu’a pris le responsable chargé pour accréditer les médias et Sites d’information présent aù lieu de la conférence, ce n’est que le haut membre de l’équipe presse de la présidence de la RDC.
Les voix s’élèvent déjà de parts et d’autres pour condamner cet acte moins professionnel, et qui sape les objectifs du chef de l’état de toucher toutes les couches sociales de la population.
C’est presque connue parceque même certaines personnes vivant à Goma n’ont pas été informées sur la communication du président de la République. La faute incombant à ce membre de l’équipe presse de la présidence de la RDC.
En tout cas c’est ce qui est à comprendre après la ronde des certains sites d’informations de la place ainsi que des radios et télévisions.
L’accès à l’information, un droit qui a été piétiné par un professionnel des longues dates dans le domaine. Il se constate encore que c’est le moment de résonner et de mettre chacun à sa place, aussi faire respirer ce domaine aussi important partout , d’où le nom du « quatrième pouvoir ». Ce secteur est assiégé par qui conque et est maintenant victime, peut-on dire alors la presse subit des répercussions négatives vue qu’elle n’a pas été protégée depuis longtemps.
Giscard Kusema, a-t-il une explication à donner, son fauteuil est-il déjà en danger ? La nouvelle ne pourra pas passer sans voix devant la modestie et le sens du correct du président de la République Félix Antoine Tshisekedi.
Mais rappelons encore que lors d’un Point de presse du Premier Ministre Sama Lokonde à l’Hôtel Serena, nombreux des journalistes étaient aussi zappés. Donc une pratique déjà acquise dans les esprits des pratiquants de la presse.
Les professionnels sont bipés , affaire à suivre.
Didier Bujiriri