Le développement d’une contrée est travail accompagné d’une ferme volonté des citoyens disposant des ressources humaines, matérielles et financières. Ce qui fait que l’histoire noble de « grandes civilisations » est souvent écrite par de grands hommes conscients et soucieux de l’avenir des générations futures. Et en République Démocratique du Congo, précisément dans la province du Nord-Kivu, en ville de Goma, de telles personnes existent. Il s’agit bien de Monsieur
Saleh Kumwimba Charles: un chercheur, philanthrope et homme politique qui incarne les vraies valeurs républicaines.
Qui est Saleh Kumwimba Charles?
Digne fils de Luton Swedy Léon et Atosha Wababili Jeanne, Saleh Kumwimba Charles est né à Kalima, le 05 mai dans la fin des années 80, en territoire de Shabunda dans la province du Sud-Kivu, la partie Est de la RDC.
Dès l’âge scolaire, il est inscrit à l’école primaire Musuku/Kalima où il obtient son certificat, avant de s’envoler pour la ville volcanique pour ses études secondaires. Diplômé de l’institut Bandashe (2007), en pédagogie générale, ce qui lui a valu la clé d’ouverture pour ses études supérieures.
Brillant et déterminé pour contribuer tant soi peu avec des solutions aux problèmes de la société, Saleh Kumwimba s’engage comme étudiant à l’Institut supérieur de l’informatique et de gestion (ISIG/GOMA), où il décroche son bac+5 en réseaux et télécommunications après les années 2010.
Travailler pour soi et pour les autres. Et cela demande plus de gymnastiques en terme de formation, ce qui permet d’ailleurs la polyvalence à plusieurs personnes pour trouver facilement l’emploi dans un pays continent comme la RDC. Après les études supérieures, Saleh Kumwimba suivra également une formation en douane et accise pour rabibocher avec le reste de sa vie.
Engagé en 2012 à AMICONGO comme informaticien, puis en 2016, comme déclarant en douane à la même société jusqu’à nos jours, où j’occupe le poste de « chef du service voyage » toujours à AMICONGO.
Ingénieur informaticien chevronné, animé par un esprit de donner le meilleur de lui-même, en 2017, il a signé un contrat avec la grande société
Bralima pour faire leur protocole dans la ville
de Goma jusqu’à présent.
Tout obstacle renforce la détermination. Celui qui s’est fixé un but n’en change pas, dit-on.
Je suis l’initiateur de la fondation qui prend mon nom : FONDATION SALEH KUMWIMBA« FSK » avec l’objectif d’aider la population de Goma en particulier et de la
république démocratique du Congo en général dans les domaines de: l’entrepreneuriat, la scolarité et la prise en charge des personnes démunies, mais aussi des micros finances, pour une autonomisation sociale.
Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal. C’est le courage de continuer qui compte:
Dieu avait un but précis en nous créant, lui rendre gloire. Toute action a sa motivation.
Je suis chrétien protestant et je connais la loi du partage : elle dit « vous avez reçu gratuitement, donnez aussi gratuitement dont l’objectif de ma fondation citée ci-haut. Ainsi donc, toutes les capacités que Dieu m’a données, je veux les mettre à la disposition de mes frères et sœurs congolais de Goma.
Deuxième motivation : un député provincial n’a pas un territoire réservé, il est le fils de toute la province pour être candidat partout où il veut. J’ai choisi Goma enfin en tant que quel qu’un qui connait les souffrances de sa population, pour les soumettre à l’hémicycle provincial du Nord-Kivu et être leur avocat pour plaider pour elle.
La perspective ne permet pas aux aveugles de voir.
Il ne faut pas aller aux élections par précipitation,
opportunisme ou curiosité. Lorsqu’on parle d’objectif à atteindre, voilà le mot. D’abord, l’œuvre législative :Faire des lois, contrôler le pouvoir et l’exercice des droits et libertés publiques, collaborer avec les institutions provinciales.
Mon message à la population de Goma
Seul message que je donne à ma base qui est la population Gomatracienne est qu’elle ne soit pas trompée comme auparavant, il faut changer l’ancien système qui était de politicien plein de mensonges et en arrivant là où la population les a envoyé, rien ne marche.
La rédaction