L’année scolaire 2023-2024 a été caractérisée par des mouvements de grèves des enseignants qui réclamaient leurs prise en charge efficace par le gouvernement. Cette situation a empiété la qualité de l’éducation de base partout en République démocratique du Congo suite à la gratuité de l’enseignement non effective prônait par le président de la république.
A quelques jour du démarrage de l’année scolaire 2024-2025 prévu le 2 Septembre prochain, les syndicalistes des enseignants en province du Nord-Kivu menacent de projeter les mouvements des grèves. C’est le cas de la force nationale des enseignants du Congo FONECO Nord-Kivu qui appelle les autorités à majorer les salaires des enseignants.
Pour Fidel BYUMA président provincial de cette structure syndicale, le dernier enseignant doit toucher au minimum 500 dollars sans lequel aucun enseignant n’ira pas au cours ce lundi.
De son coté, Aaron SANVURA président du syndicat national des écoles conventionnées catholiques au Nord-Kivu estime que le nouveau gouvernement congolais doit tenir compte des cinq actions prioritaires identifiées lors de récentes assises tenues à Bibwa.
Notons que le gouvernement provincial a au cours d’une communication confirmer la rentrée scolaire même dans les zones sous occupation des rebelles terroristes du M23.
Josué Bulonfu